Deorum Interfectores, Tome 1
Alter Ego
Alter Ego
Astrid Méan
Haraar
Lucaino, habitant d'Ydrith où évoluent les plus féériques créatures,
est envoyé par son sultan quérir le moyen de sauver son pays d'une
guerre sanglante. La Pierre des Glaces possède un pouvoir magique
incommensurable qui, dit-on, pourrait parvenir à repousser les armées
ennemies.
Mais en la touchant, le jeune homme découvre un univers parallèle dévoré par la luxure et la corruption : Rome. Là, un dieu renégat et ambitieux, tapi au plus profond des Enfers, est bien décidé à asseoir son joug sur les deux mondes...
Dans cette lutte divine à laquelle Haraar prend part bien malgré lui, à qui pourra-t-il faire confiance ? Saura-t-il embrasser la destinée des Deorum Interfectores, seuls mortels capables de tuer des dieux ?
Et qui est réellement Anna Ordas, cette jeune femme énigmatique d'une beauté glaciale qu'il s'est juré de protéger, et qui ne le laisse pas indifférent ?
Cette fois, encore je dénonce : Supy a écrit une chronique trèèès tentante, donc je ne pouvais pas résister lorsque j'ai croisée Astrid Méan aux Imaginales ! Je suis donc repartie avec le livre et une sympathique dédicace !
Haraar Lucaino habite à Ydrith et est missionné par le Sultan pour chercher à tout prix le moyen de sauver son pays d'une guerre. Et ce moyen, ce serait la Pierre des Glaces qui posséderait le pouvoir des repousser des armées. Mais cette pierre envoie Haraar dans un univers parallèle : Rome, cité corrompue et violente. Au cours de son périple, Haraar réalise qu'un Dieu renégat est bien déterminé à régner, par tous les moyens possibles, à la fois sur Rome et sur Ydrith. Au cours de sa quête, il va rencontrer Anna Ordas, détentrice d'un pouvoir terrifiant et qui ne peut être touché par aucun homme.
Alter Ego est un énorme pavé, plus de 600 pages difficiles à résumer et à décrire. Je n'en dirais pas plus sur l'histoire, car je pourrais accidentellement vous dévoiler quelques moments clefs ! Mais surtout parce qu'on va de surprises en surprises, il y a sans arrêt des rebondissements et des retournements de situations. Les pages défilent, les chapitres passent... et on reste accrochés !
Car la grande force de ce Deorum Interfectores et d'Astrid Méan, c'est d'avoir un univers époustouflant qui s'ouvre devant nos yeux. Déjà, deux univers : Ydrith et Rome. Nous connaissons un peu Rome, pas du tout Ydrith. Les descriptions de ces deux mondes sont poussées, travaillés, et très abouti. Déjà, il faut beaucoup de talent et d'imagination pour créer un univers de toute pièce, le rendre logique, cohérant, avec ses habitants, ses coutumes et tout ce qui s'ensuit. Mais il y a également cette description de Rome, vraiment très minutieuse. Créer un endroit est une chose, faire ses recherches pour détailler une ville qui existe, avec les us et coutumes de l'époque, est quelque chose de différent et d'aussi compliqué ! On sent les heures de recherches et de travail pour construire quelque chose d'aussi abouti.
Et les descriptions n'arrêtent pas aux paysages. Astrid Méan nous livre quelques personnages intéressants à suivre, et que j'ai déjà hâte de retrouver dans un prochain tome. Harrar est un puissant guerrier, très chevaleresque, prêt à tout pour aider la veuve et l'orphelin, et surtout à sauver son pays. De son côté, Anna est le mystère : d'où vient son pouvoir ? Pourquoi ne peut-elle pas être touchée par un homme ? On reste constamment sur la brèche avec elle, et c'est pour le moins intéressant. Mais le personnage que je préfère, c'est Wa. C'est une jument, et elle parle. Une jument qui parle ! C'est la monture d'Harrar et on peut dire qu'elle lui en fait voir de toutes les couleurs. Bavarde, souvent froussarde, elle adore donner son avis et mettre son grain de sel à n'importe quelle situation !
En plus de l'univers et des personnages, nous avons droit à des moments de tension, où je suis restée à prier que les personnages principaux s'en sortent sans trop de bobos. La tension va crescendo tout du long, et je lisais de plus en plus vite afin de savoir ce qui allait enfin se passer !
J'ai acheté Alter Ego contrainte et forcée, mais je ne le regrette pas, et maintenant je piaffe d'impatience en attendant la suite, qui arrivera vite je l'espère !
Mais en la touchant, le jeune homme découvre un univers parallèle dévoré par la luxure et la corruption : Rome. Là, un dieu renégat et ambitieux, tapi au plus profond des Enfers, est bien décidé à asseoir son joug sur les deux mondes...
Dans cette lutte divine à laquelle Haraar prend part bien malgré lui, à qui pourra-t-il faire confiance ? Saura-t-il embrasser la destinée des Deorum Interfectores, seuls mortels capables de tuer des dieux ?
Et qui est réellement Anna Ordas, cette jeune femme énigmatique d'une beauté glaciale qu'il s'est juré de protéger, et qui ne le laisse pas indifférent ?
Cette fois, encore je dénonce : Supy a écrit une chronique trèèès tentante, donc je ne pouvais pas résister lorsque j'ai croisée Astrid Méan aux Imaginales ! Je suis donc repartie avec le livre et une sympathique dédicace !
Haraar Lucaino habite à Ydrith et est missionné par le Sultan pour chercher à tout prix le moyen de sauver son pays d'une guerre. Et ce moyen, ce serait la Pierre des Glaces qui posséderait le pouvoir des repousser des armées. Mais cette pierre envoie Haraar dans un univers parallèle : Rome, cité corrompue et violente. Au cours de son périple, Haraar réalise qu'un Dieu renégat est bien déterminé à régner, par tous les moyens possibles, à la fois sur Rome et sur Ydrith. Au cours de sa quête, il va rencontrer Anna Ordas, détentrice d'un pouvoir terrifiant et qui ne peut être touché par aucun homme.
Alter Ego est un énorme pavé, plus de 600 pages difficiles à résumer et à décrire. Je n'en dirais pas plus sur l'histoire, car je pourrais accidentellement vous dévoiler quelques moments clefs ! Mais surtout parce qu'on va de surprises en surprises, il y a sans arrêt des rebondissements et des retournements de situations. Les pages défilent, les chapitres passent... et on reste accrochés !
Car la grande force de ce Deorum Interfectores et d'Astrid Méan, c'est d'avoir un univers époustouflant qui s'ouvre devant nos yeux. Déjà, deux univers : Ydrith et Rome. Nous connaissons un peu Rome, pas du tout Ydrith. Les descriptions de ces deux mondes sont poussées, travaillés, et très abouti. Déjà, il faut beaucoup de talent et d'imagination pour créer un univers de toute pièce, le rendre logique, cohérant, avec ses habitants, ses coutumes et tout ce qui s'ensuit. Mais il y a également cette description de Rome, vraiment très minutieuse. Créer un endroit est une chose, faire ses recherches pour détailler une ville qui existe, avec les us et coutumes de l'époque, est quelque chose de différent et d'aussi compliqué ! On sent les heures de recherches et de travail pour construire quelque chose d'aussi abouti.
Et les descriptions n'arrêtent pas aux paysages. Astrid Méan nous livre quelques personnages intéressants à suivre, et que j'ai déjà hâte de retrouver dans un prochain tome. Harrar est un puissant guerrier, très chevaleresque, prêt à tout pour aider la veuve et l'orphelin, et surtout à sauver son pays. De son côté, Anna est le mystère : d'où vient son pouvoir ? Pourquoi ne peut-elle pas être touchée par un homme ? On reste constamment sur la brèche avec elle, et c'est pour le moins intéressant. Mais le personnage que je préfère, c'est Wa. C'est une jument, et elle parle. Une jument qui parle ! C'est la monture d'Harrar et on peut dire qu'elle lui en fait voir de toutes les couleurs. Bavarde, souvent froussarde, elle adore donner son avis et mettre son grain de sel à n'importe quelle situation !
En plus de l'univers et des personnages, nous avons droit à des moments de tension, où je suis restée à prier que les personnages principaux s'en sortent sans trop de bobos. La tension va crescendo tout du long, et je lisais de plus en plus vite afin de savoir ce qui allait enfin se passer !
J'ai acheté Alter Ego contrainte et forcée, mais je ne le regrette pas, et maintenant je piaffe d'impatience en attendant la suite, qui arrivera vite je l'espère !
Chronique en + : l'avis de April-the-Seven !
Ah oui, je me souviens bien à quel point Supy t'avait traîné jusqu'au stand!! :) Et bien, c'est une bonne nouvelle!! Il faudrait que je l'emprunte à Supy un de ces jours!
RépondreSupprimerEt je n'ai pas pu résister, je suis trop faiiiiiiible ;) !
SupprimerOk, alors en plus que toi et Supy avait adoré, l'illustratrice (auteur?) dessine des dragons et rien que pour ça, je veux ce livre!!!!!
RépondreSupprimerJe ne connaissais pas mais je pense que cela pourrait me plaire hihi ^^
RépondreSupprimerContente de voir que tu as passé un bon moment avec celui ci. Je ne suis pas sure que ça soit pour moi mais peut etre un jour.
RépondreSupprimerC'est super surtout si le roman est un pavé ! ;) J'espère que - dès que tu l'auras - la suite sera aussi bien voir meilleure :D
RépondreSupprimerOh, ravie de voir qu'il t'as plu, même si ça va pas aider ma pal tout ça ! J'étais déjà super tentée à la base (le côté romain que je trouve très original pour de la fantasy), mais là c'est encore pire !
RépondreSupprimerParfois, c'est vraiment bien de se laisser forcer un peu la main ! C'est souvent comme ça que l'on fait les plus belles et inattendues découvertes ;)
RépondreSupprimer