La mort est une femme comme les autres
Marie Pavlenko
La
Mort, lasse d'accomplir sa besogne, décide de ne plus intervenir. La
vie des hommes ne connaît alors plus de fin. En proie à la mélancolie,
Emm rencontre Suzie. Touchée par la gentillesse de la jeune femme, elle
découvre la beauté qui se cache dans la nature humaine.
J'ai lu les livres précédents de Marie Pavlenko avec un très grand plaisir, alors je ne pouvais pas rater La mort est une femme comme les autres à sa sortie ! Surtout qu'il est assez différent des autres séries.
La mort est une femme comme les autres va nous présenter (sans surprise !) la Mort, aussi appelée Emm. Une Mort qui a bien du mal à faire son boulot. Rien à faire, elle n'en peut plus, elle en a marre, elle fait un burn out. Du coup, elle décide de se laisser aller, et de ne plus prendre aucune âme. Du coup... Bah, plus personne ne meurt ! Les hôpitaux et les médecins vont être débordés de malades refusant de mourir malgré la gravité de certaines conditions. Mais ils vont en plus être envahis par toutes sortes de personnes bien-portantes, mais complètement affolées par la situation et réclamant de savoir pourquoi on ne peut plus mourir.
Emm va assister à tous ces débordements, à l'hystérie et à la panique collective, mais aussi aux petits travers quotidiens des humains. Et on ne peut pas dire qu'elle aime l'Être Humain... Jusqu'au jour où une jeune femme, Suzie, va lui témoigner de la gentillesse et va l'aider. A partir de ce moment, Emm décide de suivre Suzie pour essayer de l'aider, de la comprendre, et de comprendre les mortels en général. Au-delà d'Emm et Suzie, on va rencontrer également le médecin Anatole Paladru qui me laissait plutôt indifférente au départ, avant de finalement dévoiler sa vraie nature et de me toucher également. Par contre, sa mère ne m'a pas touchée du tout, c'est une véritable sangsue, bien décidée à tout contrôler dans la vie de son fils. L'autre personnage qui est un des piliers de l'histoire, c'est la Faux. Compagne inséparable de la Mort, elle est bien décidée à aider Emm à aller mieux, et à reprendre vite fait son travail, parce que cette situation ne peut pas durer ! Un personnage haut en couleur, qui m'a bien souvent fait rire.
La mort est une femme comme les autres n'a donc rien à voir avec Saskia, Marjane ou Erine, à part le fait que nous rencontrons de nouveau des femmes fortes, sensibles, en proies aux difficultés de la vie et tout ce que cela entraine. Marie Pavlenko a toujours cette plume brillante, accrocheuse, et on a du mal à quitter l'histoire avant qu'elle ne soit finie. Je n'aurais d'ailleurs pas été contre 100 ou 200 pages de plus, pour rester en compagnie d'Emm et Suzie plus longtemps !
A travers La mort est une femme comme les autres, Marie Pavlenko nous livre à la fois une réflexion sur la société mais aussi sur l'être humain, et nous montre que dans le contexte actuel, l'amitié et l'entraide sont d'autant plus nécessaire. La nature humaine peut être souvent très laide, mais heureusement qu'il y a ces gens qui rattrapent tout. Une histoire assez grave, une parfois tragique, mais heureusement qu'il y a la talent de Marie Pavlenko, un humour percutant, des protagonistes qui ont du mordant, et surtout l'espoir et l'amour qui sont bien là, malgré tout !
La mort est une femme comme les autres est un livre à lire, si vous avez aimé les précédents ouvrages de Marie Pavlenko ; et il est définitivement à lire si vous ne connaissez pas encore cette auteure !
Qu'attendez-vous ?
J'ai lu les livres précédents de Marie Pavlenko avec un très grand plaisir, alors je ne pouvais pas rater La mort est une femme comme les autres à sa sortie ! Surtout qu'il est assez différent des autres séries.
La mort est une femme comme les autres va nous présenter (sans surprise !) la Mort, aussi appelée Emm. Une Mort qui a bien du mal à faire son boulot. Rien à faire, elle n'en peut plus, elle en a marre, elle fait un burn out. Du coup, elle décide de se laisser aller, et de ne plus prendre aucune âme. Du coup... Bah, plus personne ne meurt ! Les hôpitaux et les médecins vont être débordés de malades refusant de mourir malgré la gravité de certaines conditions. Mais ils vont en plus être envahis par toutes sortes de personnes bien-portantes, mais complètement affolées par la situation et réclamant de savoir pourquoi on ne peut plus mourir.
Emm va assister à tous ces débordements, à l'hystérie et à la panique collective, mais aussi aux petits travers quotidiens des humains. Et on ne peut pas dire qu'elle aime l'Être Humain... Jusqu'au jour où une jeune femme, Suzie, va lui témoigner de la gentillesse et va l'aider. A partir de ce moment, Emm décide de suivre Suzie pour essayer de l'aider, de la comprendre, et de comprendre les mortels en général. Au-delà d'Emm et Suzie, on va rencontrer également le médecin Anatole Paladru qui me laissait plutôt indifférente au départ, avant de finalement dévoiler sa vraie nature et de me toucher également. Par contre, sa mère ne m'a pas touchée du tout, c'est une véritable sangsue, bien décidée à tout contrôler dans la vie de son fils. L'autre personnage qui est un des piliers de l'histoire, c'est la Faux. Compagne inséparable de la Mort, elle est bien décidée à aider Emm à aller mieux, et à reprendre vite fait son travail, parce que cette situation ne peut pas durer ! Un personnage haut en couleur, qui m'a bien souvent fait rire.
La mort est une femme comme les autres n'a donc rien à voir avec Saskia, Marjane ou Erine, à part le fait que nous rencontrons de nouveau des femmes fortes, sensibles, en proies aux difficultés de la vie et tout ce que cela entraine. Marie Pavlenko a toujours cette plume brillante, accrocheuse, et on a du mal à quitter l'histoire avant qu'elle ne soit finie. Je n'aurais d'ailleurs pas été contre 100 ou 200 pages de plus, pour rester en compagnie d'Emm et Suzie plus longtemps !
A travers La mort est une femme comme les autres, Marie Pavlenko nous livre à la fois une réflexion sur la société mais aussi sur l'être humain, et nous montre que dans le contexte actuel, l'amitié et l'entraide sont d'autant plus nécessaire. La nature humaine peut être souvent très laide, mais heureusement qu'il y a ces gens qui rattrapent tout. Une histoire assez grave, une parfois tragique, mais heureusement qu'il y a la talent de Marie Pavlenko, un humour percutant, des protagonistes qui ont du mordant, et surtout l'espoir et l'amour qui sont bien là, malgré tout !
La mort est une femme comme les autres est un livre à lire, si vous avez aimé les précédents ouvrages de Marie Pavlenko ; et il est définitivement à lire si vous ne connaissez pas encore cette auteure !
Qu'attendez-vous ?
Chronique en + : l'avis de Onirik !
Je l'attends avec encore plus d'impatience alors ! Je viendrai lire ta chronique après l'avoir lu ;)
RépondreSupprimerBonne lecture, j'espère que tu aimeras :) !
SupprimerJe ne connais pas du tout la plume de Marie Pavlenko mais le titre, le résumé et ta chronique me donnent franchement envie de la découvrir. En plus je vais à la librairie cet aprem :P Si je le trouve je vais certainement me laisser aller au craquage.
RépondreSupprimerAlors, as-tu craqué ;) ?
SupprimerJe l'ai rajouté dans ma WL. Tu m'as complètement convaincue :)
RépondreSupprimerEn plus je n'ai jamais rien lu de cette auteure :)
Ca sera l'occasion de la découvrir :) !
SupprimerJe n'ai encore rien lu de Marie Pavlenko :( Je note celui-ci, il me tente bien. Depuis le temps que j'entends parler de cette auteure!
RépondreSupprimerN'hésite pas à tenter, je pense que ça pourrait te plaire :)
SupprimerJe ne connais pas du tout cette auteur ! Tu me conseillera lequel de ses romans pour commencer ?
RépondreSupprimerJe te conseillerai sans doute La Trilogie de Saskia, ses premiers livres, ils sont vraiment très bons !
SupprimerMerci ! Je vais regarder ça de plus près :)
SupprimerTu me dira :) !
SupprimerJe ne connais pas du tout cet auteur, mais ta chronique me donne super envie de découvrir ce livre!
RépondreSupprimerJe ne peux que te le conseiller !
SupprimerJe n'ai pas encore lu de livres de l'auteur mais l'idée est assez originale j'avoue et je suis assez curieuse.
RépondreSupprimerJ'espère que ces livres te plairont si tu tentes :)
SupprimerJ'aime beaucoup le ton de ces romans. Une jeune femme très sympathique, qui, en plus, est très proche de ses lecteurs et très disponible ! Je note ce titre sans tarder !
RépondreSupprimerJe suis d'accord avec toi : Marie Pavlenko est vraiment quelqu'un d'abordable et très sympathique :) !
SupprimerJ'aime beaucoup Marie Pavlenko et le titre de ce roman m'a de suite attiré. Ta chronique me donne d'autant plus envie !
RépondreSupprimerJ'espère que tu ne sera pas déçue !
SupprimerJe n'ai encore rien lu de l'auteure, pourtant j'en ai beaucoup entendu parler. Mais quand est-ce que je vais trouver le temps pour tout lire?! grrr
RépondreSupprimerDémissionne de ton boulot, je n'ai pas fini de te tenter ;) !
SupprimerOh Oh ! J'aime bien cet auteur, le titre est accrocheur et ton article aussi. Pouaaaaaaaah trop de bonnes choses sur Terre pour une seule vie :D
RépondreSupprimerOn est d'accord là-dessus, il faudrait avoir 9 vies ;) !
SupprimerExcellente question, qu'est-ce que j'attends ? Surtout que j'ai la trilogie du "Livre de Saskia" dans mon abyssale pile à lire ^^ Alors je vais essayer d'être raisonnable en n'ajoutant pas tout de suite celui-ci, mais cela va être très dur de ne pas craquer :D
RépondreSupprimerMais il FAUT absolument que tu lise Saskia, c'est génial :D !!
SupprimerJe suis en train de le lire :) Et c'est une Belle découverte !
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