La cicatrice du Diable
Laurent Scalese
Paris, de nos jours...
Après la défenestration d'un scénariste du bureau de Cécilia Rhodes, célèbre productrice, le commissaire Milot, chargé de l'enquête, est peu convaincu par la thèse du suicide. Il établit un parallèle avec la mort de Lucie Drax, une jeune scénariste qui travaillait pour Cécilia trente ans plus tôt. Une affaire qui semble liée à l'histoire personnelle de Milot.
Autour de cette femme prête à tout pour parvenir à ses fins, gravitent un assistant fou amoureux, un mari richissime et un scénariste raté qu'elle exploite. Des pantins qui ne tarderont pas à vouloir jouer leur propre rôle...
Découvrant une femme impitoyable, le commissaire n'hésitera pas à faire saigner une ancienne et effroyable blessure : la cicatrice du Diable.
Après Le samouraï qui pleure et Le baiser de Jason, je me plonge toujours plus profondément dans le monde de Laurent Scalese.
Tout se passe à Paris, dans le monde de l'art, et plus spécialement dans le monde de l'audiovisuel. Cécilia Rhodes est une célèbre productrice, crainte pour ses humeurs et par la manière dont elle traite ceux qui travaille pour elle. Alors, le jour où un scénariste se donne la mort en se jetant de la fenêtre du bureau de Cécilia Rhodes, le commissaire Milot ne croit pas au suicide. Surtout pas après la mort, il y a une trentaine d'année, d'une scénariste appelée Lucie Drax, qui travaillait également pour Cécilia...
Le commissaire Milot va se plonger dans le monde impitoyable du show-biz, et découvrant qu'autour de Cécilia Rhodes transite des personnes à la fois prêtes à tout pour percer ou pour attirer l'attention de Cécilia. Cette femme semble attirer les personnes comme le vinaigre attire les mouches. Elle est à la fois fascinante, terrifiante et impitoyable.
Les premiers romans que j'ai lu de Laurent Scalese m'ont vraiment captivée du début à la fin, et je n'ai absolument pas été déçue avec La cicatrice du Diable ! L'univers diffère de celui de la drogue ou des samouraïs, on se retrouve ce coup-ci dans le monde du cinéma. Un monde où tout le monde se veut meilleur que les concurrents, pas d'entraide ou d'échanges, on fait tout pour percer quitte à écraser ceux qui se trouvent sur le chemin. Cécilia Rhodes en est le parfait exemple : bien décidée à être reconnu dans le milieu, elle n'hésite pas à exploiter ceux qui travaillent pour elle, à voler leur travail et à les monter les uns contre les autres.
Laurent Scalese est toujours aussi fort pour écrire une intrigue simple en apparence, mais complexe lorsqu'on s'y plonge vraiment. Complot, meurtres, intrigues... Tout est très bien dosé, captivant, et j'ai été accrochée jusqu'au bout ! La cicatrice du Diable fait sans conteste partie de mes préférés. J'ai adorée détester Célia Rhodes, une femme antipathique au possible, mais avec ses failles et ses fêlures, que l'on comprend de mieux en mieux au cours de l'intrigue. Le personnage du commissaire Milot est tout aussi intéressant, et beaucoup plus sympathique ! Il va faire de cette enquête une affaire profondément personnelle, et les révélations sur lui ne seront faire qu'au compte-goutte. On se pose sans cesse des questions, jusqu'à la fin pour les dernières révélations et explications.
La cicatrice du Diable est un thriller très bien mené, bien ficelé et très bien écrit du début à la fin, je suis toujours fan de Laurent Scalese, très inventif et captivant. Si vous ne le connaissez pas encore, foncez !
Après la défenestration d'un scénariste du bureau de Cécilia Rhodes, célèbre productrice, le commissaire Milot, chargé de l'enquête, est peu convaincu par la thèse du suicide. Il établit un parallèle avec la mort de Lucie Drax, une jeune scénariste qui travaillait pour Cécilia trente ans plus tôt. Une affaire qui semble liée à l'histoire personnelle de Milot.
Autour de cette femme prête à tout pour parvenir à ses fins, gravitent un assistant fou amoureux, un mari richissime et un scénariste raté qu'elle exploite. Des pantins qui ne tarderont pas à vouloir jouer leur propre rôle...
Découvrant une femme impitoyable, le commissaire n'hésitera pas à faire saigner une ancienne et effroyable blessure : la cicatrice du Diable.
Après Le samouraï qui pleure et Le baiser de Jason, je me plonge toujours plus profondément dans le monde de Laurent Scalese.
Tout se passe à Paris, dans le monde de l'art, et plus spécialement dans le monde de l'audiovisuel. Cécilia Rhodes est une célèbre productrice, crainte pour ses humeurs et par la manière dont elle traite ceux qui travaille pour elle. Alors, le jour où un scénariste se donne la mort en se jetant de la fenêtre du bureau de Cécilia Rhodes, le commissaire Milot ne croit pas au suicide. Surtout pas après la mort, il y a une trentaine d'année, d'une scénariste appelée Lucie Drax, qui travaillait également pour Cécilia...
Le commissaire Milot va se plonger dans le monde impitoyable du show-biz, et découvrant qu'autour de Cécilia Rhodes transite des personnes à la fois prêtes à tout pour percer ou pour attirer l'attention de Cécilia. Cette femme semble attirer les personnes comme le vinaigre attire les mouches. Elle est à la fois fascinante, terrifiante et impitoyable.
Les premiers romans que j'ai lu de Laurent Scalese m'ont vraiment captivée du début à la fin, et je n'ai absolument pas été déçue avec La cicatrice du Diable ! L'univers diffère de celui de la drogue ou des samouraïs, on se retrouve ce coup-ci dans le monde du cinéma. Un monde où tout le monde se veut meilleur que les concurrents, pas d'entraide ou d'échanges, on fait tout pour percer quitte à écraser ceux qui se trouvent sur le chemin. Cécilia Rhodes en est le parfait exemple : bien décidée à être reconnu dans le milieu, elle n'hésite pas à exploiter ceux qui travaillent pour elle, à voler leur travail et à les monter les uns contre les autres.
Laurent Scalese est toujours aussi fort pour écrire une intrigue simple en apparence, mais complexe lorsqu'on s'y plonge vraiment. Complot, meurtres, intrigues... Tout est très bien dosé, captivant, et j'ai été accrochée jusqu'au bout ! La cicatrice du Diable fait sans conteste partie de mes préférés. J'ai adorée détester Célia Rhodes, une femme antipathique au possible, mais avec ses failles et ses fêlures, que l'on comprend de mieux en mieux au cours de l'intrigue. Le personnage du commissaire Milot est tout aussi intéressant, et beaucoup plus sympathique ! Il va faire de cette enquête une affaire profondément personnelle, et les révélations sur lui ne seront faire qu'au compte-goutte. On se pose sans cesse des questions, jusqu'à la fin pour les dernières révélations et explications.
La cicatrice du Diable est un thriller très bien mené, bien ficelé et très bien écrit du début à la fin, je suis toujours fan de Laurent Scalese, très inventif et captivant. Si vous ne le connaissez pas encore, foncez !
Un auteur qui sait aborder différents univers avec réussite si je comprends bien ! Je ne suis pas fana de thrillers, mais pourquoi pas un jour si l'envie me prend ;)
RépondreSupprimerToujorus sympa de trouver un bon thriller puis le monde de l'art est assez intrigant.
RépondreSupprimerC'est marrant, les premières lignes du résumé me rappelle L'appel du coucou...
RépondreSupprimerBref
Je ne connaissais pas ce titre ni cet auteur mais ton billet aiguise ma curiosité... Je le note !
Je ne connaissais pas du tout, et je note très attentivement!
RépondreSupprimerEt bien je ne connais pas cet auteur. il faut que je le découvre manifestement!
RépondreSupprimerDepuis un petit moment je me dis qu'il me faut le découvrir !
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