Port d'Âmes
Lionel Davoust
Rhuys ap Kaledán est un héritier déchu.
Tout juste libéré de la servitude et des galères, il rejoint la cité franche d'Aniagrad, où tout se vend et tout s'achète, pour reconquérir l'honneur de sa famille. L'occasion lui en est rapidement donnée : Edelcar Menziel, un ancien ami de son père, lui propose de travailler sur la conversion dranique, un procédé perdu depuis des siècles qui permettrait de réaliser des machines magiques. Résolu à tracer son chemin dans la haute société de la ville, le jeune homme s'investit de tout son cœur dans le projet.
Mais bientôt, coincé entre des intrigues politiques et son amour pour une mystérieuse jeune femme qui vend des fragments de son âme pour survivre, Rhuys découvre que le passé recèle des secrets bien sombres et tortueux. Aux prises avec l'ambition, la duplicité et le mensonge, il devra se montrer plus rusé que ses ennemis s'il veut atteindre son but sans perdre son âme.
Rhuys ap Kaledán est un héritier déchu. Pour avoir pris la punition à la place de son père et de son associé, il a travaillé huit ans sur une galère. Tout juste libéré de cette servitude, il rejoint la cité d'Aniagrad où il parait qu'on peut tout acheter et trouver.
Lui, il cherche à reconquérir l'honneur de sa famille et de sa maison. Cette chance se présente sous l'aspect d'Edelcar Menziel, un ancien ami de son père, qui lui propose de travailler sur un procédé perdu depuis des siècles et qui permettrait de réaliser des machines magiques. Mais rapidement le jeune homme va perdre sa naïveté et va réaliser qu'Aniagrad est une cité pour le moins imposante, et grouillante de mensonges et de tromperies.
Alors que j'errais au SDL, je suis tombée en arrêt devant le stand de Critic, qui propose beaucoup trop de tentations pour mon bien ! Cette fois, je me suis donc arrêtée devant Lionel Davoust et son Port d'Âmes, que je ne connaissais ni l'un ni l'autre. C'était donc l'occasion rêvée de combler cette lacune !
Port d'Âmes fait partie d'une fresque plus vaste où on peut retrouver cet univers, mais dont les différents livres peuvent heureusement se lire de manière indépendante ! La description de ce monde est dense sans être lourde, c'est un monde riche et soigné que nous propose Lionel Davoust, et maintenant que j'ai lu ce livre, je serais curieuse de découvrir les autres. J'ai particulièrement aimé la description de la ville d'Aniagrad : une ville qui semble être libre et avoir énormément à offrir, belle et pittoresque... Elle est tout cela, mais elle est surtout contrôlée avec une poigne de fer par la milice et par l'administration, une vraie toile d'araignée qui peut engloutir les personnes inattentives. Clairement le personnage principal du roman ! Il faut toujours surveiller ses arrières, mais c'est une cité dans laquelle j'aimerais me promener malgré tout. Pour ce qui est de Rhuys ap Kaledán, j'ai eu du mal à m'intéresser à lui au début, le trouvant trop lisse, trop idéaliste, trop innocent... Ce ne sont pas de mauvaises choses, loin de là ! Mais j'ai commencé vraiment à me prendre d'affection pour lui quand il commence à voir ce qui se passe autour de lui, à prêter attention aux ombres, et à réaliser que les apparences sont souvent trompeuses. Mais le personnage que j'ai aimé du début à la fin est celui de la Vendeuse d'Âme : son métier est de vendre des morceaux de son passé et, comme elle le dit elle-même, elle n'offre que de la tragédie. Enigmatique, secrète, renfermée sur elle-même... Mais tellement intéressante !
Donc, Port d'Âmes se révèle un livre très dense, avec une histoire qui peut paraitre assez classique mais dont le jeu de manipulation et de mensonges ne peuvent que captiver, une ville tentaculaire, des héros attachants ou malveillants... Je ne me suis pas ennuyée et je serais maintenant curieuse de lire davantage Lionel Davoust !
Tout juste libéré de la servitude et des galères, il rejoint la cité franche d'Aniagrad, où tout se vend et tout s'achète, pour reconquérir l'honneur de sa famille. L'occasion lui en est rapidement donnée : Edelcar Menziel, un ancien ami de son père, lui propose de travailler sur la conversion dranique, un procédé perdu depuis des siècles qui permettrait de réaliser des machines magiques. Résolu à tracer son chemin dans la haute société de la ville, le jeune homme s'investit de tout son cœur dans le projet.
Mais bientôt, coincé entre des intrigues politiques et son amour pour une mystérieuse jeune femme qui vend des fragments de son âme pour survivre, Rhuys découvre que le passé recèle des secrets bien sombres et tortueux. Aux prises avec l'ambition, la duplicité et le mensonge, il devra se montrer plus rusé que ses ennemis s'il veut atteindre son but sans perdre son âme.
Rhuys ap Kaledán est un héritier déchu. Pour avoir pris la punition à la place de son père et de son associé, il a travaillé huit ans sur une galère. Tout juste libéré de cette servitude, il rejoint la cité d'Aniagrad où il parait qu'on peut tout acheter et trouver.
Lui, il cherche à reconquérir l'honneur de sa famille et de sa maison. Cette chance se présente sous l'aspect d'Edelcar Menziel, un ancien ami de son père, qui lui propose de travailler sur un procédé perdu depuis des siècles et qui permettrait de réaliser des machines magiques. Mais rapidement le jeune homme va perdre sa naïveté et va réaliser qu'Aniagrad est une cité pour le moins imposante, et grouillante de mensonges et de tromperies.
Alors que j'errais au SDL, je suis tombée en arrêt devant le stand de Critic, qui propose beaucoup trop de tentations pour mon bien ! Cette fois, je me suis donc arrêtée devant Lionel Davoust et son Port d'Âmes, que je ne connaissais ni l'un ni l'autre. C'était donc l'occasion rêvée de combler cette lacune !
Port d'Âmes fait partie d'une fresque plus vaste où on peut retrouver cet univers, mais dont les différents livres peuvent heureusement se lire de manière indépendante ! La description de ce monde est dense sans être lourde, c'est un monde riche et soigné que nous propose Lionel Davoust, et maintenant que j'ai lu ce livre, je serais curieuse de découvrir les autres. J'ai particulièrement aimé la description de la ville d'Aniagrad : une ville qui semble être libre et avoir énormément à offrir, belle et pittoresque... Elle est tout cela, mais elle est surtout contrôlée avec une poigne de fer par la milice et par l'administration, une vraie toile d'araignée qui peut engloutir les personnes inattentives. Clairement le personnage principal du roman ! Il faut toujours surveiller ses arrières, mais c'est une cité dans laquelle j'aimerais me promener malgré tout. Pour ce qui est de Rhuys ap Kaledán, j'ai eu du mal à m'intéresser à lui au début, le trouvant trop lisse, trop idéaliste, trop innocent... Ce ne sont pas de mauvaises choses, loin de là ! Mais j'ai commencé vraiment à me prendre d'affection pour lui quand il commence à voir ce qui se passe autour de lui, à prêter attention aux ombres, et à réaliser que les apparences sont souvent trompeuses. Mais le personnage que j'ai aimé du début à la fin est celui de la Vendeuse d'Âme : son métier est de vendre des morceaux de son passé et, comme elle le dit elle-même, elle n'offre que de la tragédie. Enigmatique, secrète, renfermée sur elle-même... Mais tellement intéressante !
Donc, Port d'Âmes se révèle un livre très dense, avec une histoire qui peut paraitre assez classique mais dont le jeu de manipulation et de mensonges ne peuvent que captiver, une ville tentaculaire, des héros attachants ou malveillants... Je ne me suis pas ennuyée et je serais maintenant curieuse de lire davantage Lionel Davoust !
Il existe bien des manières de vouloir faire une différence dans le monde.
Les visionnaires ont toujours vécu une solitude que nul ne comprend.
Mais le véritable visionnaire ne devrait pas avoir besoin d'une communauté.
Savoir que d'autres arpentent les mêmes chemins devrait lui suffire.
Mais le véritable visionnaire ne devrait pas avoir besoin d'une communauté.
Savoir que d'autres arpentent les mêmes chemins devrait lui suffire.
Challenge : Un genre par mois.
(Mois d'avril)
(Mois d'avril)
contente de voir que tu ais passé un bon moment avec celui ci. Je ne connaissais pas mais ça peut etre pas mal
RépondreSupprimerEffectivement il est pas mal du tout !
SupprimerJe le note pour une future envie de fantasy adulte :p
RépondreSupprimerNote donc, mon ptit ;)
SupprimerJe ne suis pas trop fantasy mais tu me donnes envie de le lire!
RépondreSupprimerTu me dira si tu tente :) !
SupprimerTu connais ma devise ; fantasy un jour, fantasy toujours !!! Un nouveau titre à ne pas ignorer, merci à toi :)
RépondreSupprimerDécidément, ta WL va craquer :D !
SupprimerLa couverture est vraiment splendide! Et, le résumé pas mal du tout. Et, ton avis me donne envie de le découvrir. Je le note, merci encore pour cette énième découverte!
RépondreSupprimerAvec plaisir ;) !
SupprimerC'est plutôt mon genre, je note! :) Merci pour la découverte :)
RépondreSupprimerDe rien :) !
SupprimerOMG mais il faut que j'achète ce livre de toute urgence. Moi qui adore la fantasy je suis conquise par ta chronique. Déjà en voyant la couverture je me suis dis, oh ça va me plaire ça XD.
RépondreSupprimerJe suis très contente qu'il te tente :) !
SupprimerOh c'est un auteur dont je me dis qu'il faut que je le découvre depuis un moment! Ta chronique m'intrigue :)
RépondreSupprimerFonce alors ;) !
SupprimerTrès énigmatique ce roman surtout le fait de vendre des morceaux d'âme. j'avoue être fortement tentée par cette lecture comme souvent lorsque je lis tes chroniques :)
RépondreSupprimerLa vente de morceaux d'âmes, c'est ce qui m'a intéressée aussi ;) Fonce dessus !
SupprimerJ'ai adoré Aniagrad ! Une ville atypique :)
RépondreSupprimerJ'ai également beaucoup aimé :) !
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