Sara Lövestam
En plus d'être sans-papiers, Kouplan est à présent officiellement sans-abri. Il se retrouve à dormir sous un pont avec deux "colocataires" peu commodes, son sac à dos comme seul bagage.
Mais bonne nouvelle : il vient d'apprendre qu'il n'a plus que deux semaines à attendre pour déposer une nouvelle demande d'asile. Il pourra alors obtenir son statut de "demandeur d'asile" et loger dans un foyer.
Quand une femme riche qui soupçonne son mari de la tromper souhaite l'engager comme détective, il saute sans hésiter sur l'occasion ! Kouplan devra la jouer fine : suivre le mari afin de rassembler des preuves de son infidélité, mais aussi ne pas passer pour le SDF qu'il est en réalité et se cacher de la police.
Cependant, ce qu'il découvre est pire qu'une simple liaison extraconjugale. Bien pire...
Mais bonne nouvelle : il vient d'apprendre qu'il n'a plus que deux semaines à attendre pour déposer une nouvelle demande d'asile. Il pourra alors obtenir son statut de "demandeur d'asile" et loger dans un foyer.
Quand une femme riche qui soupçonne son mari de la tromper souhaite l'engager comme détective, il saute sans hésiter sur l'occasion ! Kouplan devra la jouer fine : suivre le mari afin de rassembler des preuves de son infidélité, mais aussi ne pas passer pour le SDF qu'il est en réalité et se cacher de la police.
Cependant, ce qu'il découvre est pire qu'une simple liaison extraconjugale. Bien pire...
Un troisième tome que j'étais impatiente de lire !
Kouplan est toujours sans-papiers, et il est maintenant officiellement sans-abri, étant donné que Regina, la femme chez qui il loue une chambre, ne peut plus l'accueillir. Le jeune homme se retrouve à dormir sous un pont, avec son sac à dos comme seule possession, et avec deux colocataires pas très fiables.
Mais Kouplan a quand même une lueur d'espoir : il a appris qu'il n'a plus que deux semaines à attendre avant de déposer une nouvelle demande d'asile. Il pourra ainsi obtenir son statut de demandeur d'asile et loger dans un foyer pendant que sa demande est examinée. Et il trouve également un nouveau travail : une femme souhaite l'engager comme détective privé, elle pense son mari infidèle. Kouplan devra donc trouver des preuves de la tromperie, tout en restant hors du radar de la police. Mais bientôt, son enquête qui devait être simple se révèle infiniment plus complexe...
Libre comme l'air est la troisième enquête de Kouplan, je conseille donc – évidemment – de lire d'abord Chacun sa vérité et Ça ne coûte rien de demander ! Et j'ai hâte de lire le quatrième et dernier tome, Là où se trouve le cœur, qui devrait arriver en juillet prochain.
Pour ce qui est de Libre comme l'air, j'ai donc retrouvé Kouplan avec plaisir, surtout que Sara Lövestam donne de plus en plus d'épaisseur à ce personnage : le jeune homme est constamment sur la brèche, toujours à regarder par-dessus son épaule et à tenter d'agir le plus « normalement » possible. On entre plus profondément dans son intimité, dans ses pensées, il est un mélange de force et de vulnérabilité. Ses démarches pour une demande d'asile en Suède sont très bien retranscrites, on peut voir un peu l'envers du décor. Ce n'est déjà pas facile, mais pour un jeune homme transgenre, cela ajoute une difficulté en plus. Sara Lövestam nous décrit avec subtilité ce casse-tête administratif et pesant, où Kouplan doit non seulement tenter de retrouver des informations sur sa famille pour prouver qu'il est en danger et « mérite » d'habiter en Suède, mais aussi sur le fait qu'il soit un homme malgré le fait qu'il ait un corps de femme...
Professeure de suédois pour les immigrés, linguiste de formation, militante LGBT, Sara Lövestam a plusieurs casquettes, et utilise tout cela pour faire de sa série Kouplan un roman mêlant plusieurs genres : intrigue policière, militantisme pour les droits LGBT, description de la vie des immigrés...
Libre comme l'air est donc une excellente lecture, je recommande !
Kouplan est toujours sans-papiers, et il est maintenant officiellement sans-abri, étant donné que Regina, la femme chez qui il loue une chambre, ne peut plus l'accueillir. Le jeune homme se retrouve à dormir sous un pont, avec son sac à dos comme seule possession, et avec deux colocataires pas très fiables.
Mais Kouplan a quand même une lueur d'espoir : il a appris qu'il n'a plus que deux semaines à attendre avant de déposer une nouvelle demande d'asile. Il pourra ainsi obtenir son statut de demandeur d'asile et loger dans un foyer pendant que sa demande est examinée. Et il trouve également un nouveau travail : une femme souhaite l'engager comme détective privé, elle pense son mari infidèle. Kouplan devra donc trouver des preuves de la tromperie, tout en restant hors du radar de la police. Mais bientôt, son enquête qui devait être simple se révèle infiniment plus complexe...
Libre comme l'air est la troisième enquête de Kouplan, je conseille donc – évidemment – de lire d'abord Chacun sa vérité et Ça ne coûte rien de demander ! Et j'ai hâte de lire le quatrième et dernier tome, Là où se trouve le cœur, qui devrait arriver en juillet prochain.
Pour ce qui est de Libre comme l'air, j'ai donc retrouvé Kouplan avec plaisir, surtout que Sara Lövestam donne de plus en plus d'épaisseur à ce personnage : le jeune homme est constamment sur la brèche, toujours à regarder par-dessus son épaule et à tenter d'agir le plus « normalement » possible. On entre plus profondément dans son intimité, dans ses pensées, il est un mélange de force et de vulnérabilité. Ses démarches pour une demande d'asile en Suède sont très bien retranscrites, on peut voir un peu l'envers du décor. Ce n'est déjà pas facile, mais pour un jeune homme transgenre, cela ajoute une difficulté en plus. Sara Lövestam nous décrit avec subtilité ce casse-tête administratif et pesant, où Kouplan doit non seulement tenter de retrouver des informations sur sa famille pour prouver qu'il est en danger et « mérite » d'habiter en Suède, mais aussi sur le fait qu'il soit un homme malgré le fait qu'il ait un corps de femme...
Professeure de suédois pour les immigrés, linguiste de formation, militante LGBT, Sara Lövestam a plusieurs casquettes, et utilise tout cela pour faire de sa série Kouplan un roman mêlant plusieurs genres : intrigue policière, militantisme pour les droits LGBT, description de la vie des immigrés...
Libre comme l'air est donc une excellente lecture, je recommande !
Kouplan, Tome 1 : Chacun sa vérité
Kouplan, Tome 2 : Ça ne coûte rien de demander
Kouplan, Tome 3 : Libre comme l'air
Kouplan, Tome 4 : Là où se trouve le cœur
Kouplan, Tome 2 : Ça ne coûte rien de demander
Kouplan, Tome 3 : Libre comme l'air
Kouplan, Tome 4 : Là où se trouve le cœur
Chronique en + : l'avis de Ju lit les mots !
Une série qu'il faudrait que je découvre !
RépondreSupprimerOui, c'est une série que je conseille absolument ! Et une de mes meilleures découvertes chez la Bête Noire (avec la série de Sandrone Dazieri !)
SupprimerCa a l'air sympa et un peu différent aussi
RépondreSupprimerC'est très intéressant, je te le conseille :)
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