Haruki Murakami
Quand sa femme lui a annoncé qu'elle voulait divorcer, le narrateur, un jeune peintre en panne d'inspiration, a voyagé seul à travers le Japon.
Et puis, il s'est installé dans la montagne dans une maison isolée, ancienne propriété d'un artiste de génie, Tomohiko Amada. Un jour, le narrateur reçoit une proposition alléchante : faire le portrait de Wataru Menshiki, un riche homme d'affaires. Tandis que celui-ci pose comme modèle, le narrateur a du mal à se concentrer. Quelque chose chez Menshiki résiste à la représentation.
Une nuit, il découvre un tableau dans le grenier, une oeuvre d'une grande violence, le meurtre d'un vieillard, comme tirée du Don Giovanni de Mozart. C'est Le Meurtre du Commandeur. Cette peinture obsède le narrateur. Et des choses étranges se produisent, comme si un autre monde s'était entrouvert. À qui se confier ? À Menshiki ? Mais peut-il vraiment lui faire confiance ?
Un livre que j'avais hâte de lire !
Un jour, la femme du narrateur lui annonce qu'elle veut divorcer. Suite à cette annonce, il décide de partir en voiture, errant sur les routes. Il reprend ensuite contact avec un ami, Masahiko Amada, qui lui propose de s'installer provisoirement dans la maison de son père, le peintre Tomohiko Amada, atteint de démence sénile. C'est l'occasion parfaite, alors il va sauter sur cette opportunité. Il va profiter de cette retraite pour réfléchir à son métier : c'est un peintre, spécialisé dans les portraits, et ce qui ne lui convient plus depuis longtemps. Il aimerait peindre des œuvres personnelles, mais se trouve en panne d'inspiration... Il va pourtant accepter de retravailler en tant que portraitiste pour l'un de ses voisins, Wataru Menshiki, un riche homme d'affaires qui lui propose une énorme somme d'argent pour ce travail. Le temps passant, il va être de plus en plus intrigué par ce voisin, et le peindre peut être l'occasion d'apprendre à le connaître davantage.
Outre ce nouveau travail, ses réflexions sur sa vie en tant que peintre et sur son mariage finissant, le narrateur va s'investir dans une toile mystérieuse trouvée dans le grenier. Cachée, cette peinture intitulée Le Meurtre du Commandeur a été peinte par Tomohiko Amada mais n'a jamais été révélée au public, alors qu'elle vaut probablement une fortune... Pourquoi a-t-elle été ainsi dissimulée ? Son thème est très différent des précédentes toiles peintes par Tomohiko Amada, est-ce la raison ? C'est une œuvre très violente, qui dépeint le meurtre d'un vieillard et sans doute inspirée de Don Giovanni, de Mozart. Le Commandeur va bientôt faire partie intégrante de la vie du narrateur, et révèle un certains nombres de surprises et de rebondissements !
Haruki Murakami est un auteur que j'apprécie énormément, et même si je n'ai pas lu toutes ses œuvres, c'est un romancier qui se démarque énormément, et dont le succès n'est pas du tout usurpé ! Parmi ses romans, je conseille tout particulièrement 1Q84, La Ballade de l'impossible et Kafka sur le rivage, qui m'ont vraiment marqué. Et maintenant, on peut rajouter à ces titres Le meurtre du commandeur. Même si je n'ai lu que le premier tome, je suis conquise, et je dois me retenir très fort pour ne pas me jeter immédiatement sur la suite ! Il faut bien faire monter un peu le plaisir, qui sait lorsqu'il ressortira un nouveau roman ?
En tout cas, Une idée apparaît est une excellente lecture, qui s'inscrit parfaitement dans l'univers étrange de Murakami, entre le réel et le fantastique, ou « réalisme magique ». Au début, Une idée apparaît se présente comme un roman un peu initiatique, où notre narrateur fait le point sur sa vie, s'interroge sur lui-même et le parcours qu'il souhaite emprunter... Puis, peu à peu, subtilement, des événements étranges vont se glisser dans le récit, le poussant à s'interroger encore davantage sur le monde qui l'entoure. C'est une histoire étrange, parfois presque inquiétante, très contemplative... On a l'impression d'être dans une rivière en apparence calme, mais avec un courant très fort. Haruki Murakami a ce talent de nous entraîner dans une histoire captivante, toute tourne autour de l'Idée, de l'art et de la création. Une idée apparaît foisonne de références, tant sur la littérature que la peinture ou la musique, et tout cela sans être suffisant ou ennuyant, au contraire. De même, ses descriptions... Juste à couper le souffle ! Le fait de pouvoir rendre des descriptions à la fois longue et captivante est un don très rare, et Murakami a indubitablement ce talent ! Comme à chaque fois, il m'entraîne dans un monde onirique, qui flirte entre le réel et le surnaturel, avec des personnages fascinants et complexes, une histoire captivante... Je ne m'en lasse pas !
Je recommande donc vivement Une idée apparaît !
Et puis, il s'est installé dans la montagne dans une maison isolée, ancienne propriété d'un artiste de génie, Tomohiko Amada. Un jour, le narrateur reçoit une proposition alléchante : faire le portrait de Wataru Menshiki, un riche homme d'affaires. Tandis que celui-ci pose comme modèle, le narrateur a du mal à se concentrer. Quelque chose chez Menshiki résiste à la représentation.
Une nuit, il découvre un tableau dans le grenier, une oeuvre d'une grande violence, le meurtre d'un vieillard, comme tirée du Don Giovanni de Mozart. C'est Le Meurtre du Commandeur. Cette peinture obsède le narrateur. Et des choses étranges se produisent, comme si un autre monde s'était entrouvert. À qui se confier ? À Menshiki ? Mais peut-il vraiment lui faire confiance ?
Un livre que j'avais hâte de lire !
Un jour, la femme du narrateur lui annonce qu'elle veut divorcer. Suite à cette annonce, il décide de partir en voiture, errant sur les routes. Il reprend ensuite contact avec un ami, Masahiko Amada, qui lui propose de s'installer provisoirement dans la maison de son père, le peintre Tomohiko Amada, atteint de démence sénile. C'est l'occasion parfaite, alors il va sauter sur cette opportunité. Il va profiter de cette retraite pour réfléchir à son métier : c'est un peintre, spécialisé dans les portraits, et ce qui ne lui convient plus depuis longtemps. Il aimerait peindre des œuvres personnelles, mais se trouve en panne d'inspiration... Il va pourtant accepter de retravailler en tant que portraitiste pour l'un de ses voisins, Wataru Menshiki, un riche homme d'affaires qui lui propose une énorme somme d'argent pour ce travail. Le temps passant, il va être de plus en plus intrigué par ce voisin, et le peindre peut être l'occasion d'apprendre à le connaître davantage.
Outre ce nouveau travail, ses réflexions sur sa vie en tant que peintre et sur son mariage finissant, le narrateur va s'investir dans une toile mystérieuse trouvée dans le grenier. Cachée, cette peinture intitulée Le Meurtre du Commandeur a été peinte par Tomohiko Amada mais n'a jamais été révélée au public, alors qu'elle vaut probablement une fortune... Pourquoi a-t-elle été ainsi dissimulée ? Son thème est très différent des précédentes toiles peintes par Tomohiko Amada, est-ce la raison ? C'est une œuvre très violente, qui dépeint le meurtre d'un vieillard et sans doute inspirée de Don Giovanni, de Mozart. Le Commandeur va bientôt faire partie intégrante de la vie du narrateur, et révèle un certains nombres de surprises et de rebondissements !
Haruki Murakami est un auteur que j'apprécie énormément, et même si je n'ai pas lu toutes ses œuvres, c'est un romancier qui se démarque énormément, et dont le succès n'est pas du tout usurpé ! Parmi ses romans, je conseille tout particulièrement 1Q84, La Ballade de l'impossible et Kafka sur le rivage, qui m'ont vraiment marqué. Et maintenant, on peut rajouter à ces titres Le meurtre du commandeur. Même si je n'ai lu que le premier tome, je suis conquise, et je dois me retenir très fort pour ne pas me jeter immédiatement sur la suite ! Il faut bien faire monter un peu le plaisir, qui sait lorsqu'il ressortira un nouveau roman ?
En tout cas, Une idée apparaît est une excellente lecture, qui s'inscrit parfaitement dans l'univers étrange de Murakami, entre le réel et le fantastique, ou « réalisme magique ». Au début, Une idée apparaît se présente comme un roman un peu initiatique, où notre narrateur fait le point sur sa vie, s'interroge sur lui-même et le parcours qu'il souhaite emprunter... Puis, peu à peu, subtilement, des événements étranges vont se glisser dans le récit, le poussant à s'interroger encore davantage sur le monde qui l'entoure. C'est une histoire étrange, parfois presque inquiétante, très contemplative... On a l'impression d'être dans une rivière en apparence calme, mais avec un courant très fort. Haruki Murakami a ce talent de nous entraîner dans une histoire captivante, toute tourne autour de l'Idée, de l'art et de la création. Une idée apparaît foisonne de références, tant sur la littérature que la peinture ou la musique, et tout cela sans être suffisant ou ennuyant, au contraire. De même, ses descriptions... Juste à couper le souffle ! Le fait de pouvoir rendre des descriptions à la fois longue et captivante est un don très rare, et Murakami a indubitablement ce talent ! Comme à chaque fois, il m'entraîne dans un monde onirique, qui flirte entre le réel et le surnaturel, avec des personnages fascinants et complexes, une histoire captivante... Je ne m'en lasse pas !
Je recommande donc vivement Une idée apparaît !
Le meurtre du commandeur, Tome 1 : Une idée apparaît
Le meurtre du commandeur, Tome 2 : La métaphore se déplace
Le meurtre du commandeur, Tome 2 : La métaphore se déplace
Il existe des rêves de ce genre, des rêves dont on ne se souvient pas.
Des rêves dont les bribes s'entrecroisent sans aucun lien entre elles.
Chacun de ces fragments a un sens concret, présente une certaine
cohérence, mais une fois entremêlés, ils s'annihilent.
Des rêves dont les bribes s'entrecroisent sans aucun lien entre elles.
Chacun de ces fragments a un sens concret, présente une certaine
cohérence, mais une fois entremêlés, ils s'annihilent.
Ce roman a vraiment l'air d'être très intéressant et très riche ! Je pourrais être tentée... en même temps, je n'ai jamais rien lu de cet auteur alors je ne sais pas si c'est une bonne idée de commencer par celui là ou pas !
RépondreSupprimerJe te conseille vraiment celui-ci, ça peut être pas mal du tout pour découvrir Murakami. Sinon, je te conseille 1Q84, La ballade de l'impossible et Kafka sur le rivage.
SupprimerUn super ! Une bonne découverte du coup !
RépondreSupprimerOuiii, une excellente découverte ^^
SupprimerJ'aime beaucoup le style de l'auteur, donc je le lirai très probablement. Mais je donne d'abord la priorité à 1Q84 que je n'ai toujours pas eu l'occasion de découvrir.
RépondreSupprimer1Q84 est excellent, j'espère que ça va te plaira !!
SupprimerAh c'est génial ! Un coup de cœur pour mon auteur chouchou ! Je suis trop contente de l'avoir trouvé au pied du sapin *_* Et je m'en délecte par avance... mais de toute façon il ne m'a jamais déçue ;–)
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